BIOGRAPHIE
Richard Aubin atterrit sur la planète Terre le 19 Août 1966 à Montréal au Canada. Il grandit dans la nature des cantons de l’est du Québec, communiant avec Dieu par la méditation et le chant inspiré.
Ce qui motive profondément sa vie, aussi loin qu’il se souvienne, est la conscience très claire, qu’il existe, au-delà de la folie de ce monde, une force très pure que l’on nomme amour. Sa manière d’Etre et de se présenter au monde le marginalise ; les autres le perçoivent comme un extra-terrestre, le confinant à une grande solitude. Il se réfugie alors tout seul dans la forêt et fusionne intimement avec elle par des chants émanant spontanément de son cœur et de la présence de Jésus Christ.
A la fin de l’enfance, à 9 ans, il commence à se socialiser et participe à des activités organisées par les scouts. Grâce à leur amour pour la nature, dans cet espace d’échanges et d’apprentissage, il peut être presque lui-même car les scouts valorisent ses qualités personnelles sans le juger tout en lui apprenant l’autodiscipline, le sens de l’initiative et des responsabilités.
A 17 ans, il va vivre à Haïti et pour la première fois de sa vie, il voit l’enfer de la souffrance. Cette dure réalité lui permet d’ouvrir son cœur à une véritable compassion, à une véritable dévotion pour le Christ et à l’urgence de se transformer et d’agir. A son retour, il commence à écrire des chansons, accompagné de sa guitare, pour suivre le chemin de la communion avec Dieu qu’il a expérimenté si intensément avec tous ces êtres.
Entre 19 et 22 ans, les études de théâtre lui permettent de pouvoir exprimer des émotions auxquelles il n’avait jamais eu accès jusqu’alors et de réaliser, par ces exercices pédagogiques, une purification de l’âme. Il a déjà conscience que la vie est une pièce de théâtre dans laquelle chacun joue seulement un rôle. Grâce aux différents rôles qui lui sont donnés d’interpréter, il s’approche peu à peu de ce qu’il est dans sont Essence.
Peu après, le regard toujours tourné en direction du Divin, il retourne à Montréal pour jouer la musique du « Vivant » empreinte de sons et de mélodies du monde. Pour manifester cette réalité, il crée son propre studio d’enregistrement, qu’il nomme « la famille » qui est pour lui et tant d’autres, un véritable laboratoire d’expériences de l’esprit.
A 27 ans, il prend conscience que tout ce qu’il a expérimenté jusque là pour tenter de s’incarner, ne donne aucun résultats. Malgré tout le travail fourni pour fonctionner dans le « monde normal », il éprouve envers lui-même et l’extérieur, un véritable dégoût : « la vie n’est que souffrance et illusions ». Au fond de l’abîme dans lequel l’a mené la dépression, il accepte l’inconnu. C’est alors, qu’à l’automne 94, il entend une voix qui lui parle et lui offre chaque soir des enseignements dignes de ce que son cœur espère depuis longtemps et dont la vibration évoque singulièrement celle du Christ qui l’a béni dans son enfance. Le chemin de la Vérité s’ouvre simplement devant lui, donnant un véritable sens à la Vie.
Deux années plus tard, entrant dans une librairie, il découvre la photo de Celui qui lui parle : Sathya Sai Baba. En prenant contact avec sa vie, son œuvre, et ses enseignements (le Sanathana Dharma), il a la certitude au fond de lui qu’il peut enfin avoir confiance en un être sur cette terre et que le chemin est celui de l’éveil à l’Essence de Soi. Par la grâce de Sai Baba, sa musique peut, au-delà des formes et des traditions, transcender la musique ordinaire en véritable Hymne au Divin
A 31 ans, Sai Baba le guide vers des amérindiens dans un village écologique au Nord du Québec, où il commence à enseigner à travers les concerts qu’il donne. Peu à peu, ses concerts interconnectent la musique énergétique avec les sons organiques émanant de l’eau, des pierres, des flûtes, des tambours etc.…
A 33 ans, à son arrivée en France, il entre en contact avec la vibration du bouddhisme tibétain par le 17e Karmapa Thaye Dordje. Afin de continuer de transmettre l’enseignement, il assume une vie de nomade, donnant des concerts, des soins, des ateliers de pratique de mantras et quelques conférences.
A partir de cette époque, l’énergie de Premananda commence à s’insinuer en lui jusqu’au mois d’avril 2005 où Premananda entre concrètement dans sa vie et lui manifeste par la suite une statue de la Mère Divine ; Richard a alors 40 ans.
Tout comme Sathya Sai Baba, Premananda va au-delà des formes Spirituelles et le ramène dans un même souffle à la Nature Essentielle, au détachement de l’illusion du monde et surtout à la rencontre de la Grâce et de la Paix en son cœur dans la simplicité du quotidien.
